dimanche 14 juillet 2013

Forme : 5 exercices pour rester en forme quand on a mal au dos

Le mal de dos qui vous fait souffrir ne vous interdit pas de faire du sport. Avec quelques exercices adaptés, vous pouvez prendre soin de votre silhouette pendant l’été et aussi de votre dos. Lucile Woodward, coach sportif, vous explique comment faire. Suivez le guide ! Le demi-pont
La position du demi-pont est idéale pour assouplir la colonne vertébrale. La répétition de cet exercice soulage progressivement le mal de dos.
Allongez-vous sur un tapis de sol. Placez vos pieds à 10 cm des fesses. Poussez sur les talons et montez vos fesses vers le plafond. Le bassin, les genoux et les épaules doivent être alignés. Les bras sont descendus vers les pieds, les mains jointes.
Poussez sur les talons et montez encore votre bassin. Les épaules sont descendues à distance des oreilles et les mains se rapprochent le plus possible des talons. Tenez 30 secondes et recommencez l’exercice autant de fois que vous le souhaitez.

Le vélo hollandais
Le vélo type "hollandais", qui a la selle plus basse que le guidon, respecte la position naturelle de votre colonne vertébrale. Cet atout ergonomique permet de garder le dos bien droit et de ne pas pencher le buste en avant. Pratique pour profiter des bienfaits du vélo tout en gardant une posture confortable !
Un stretching des jambes
Une raideur de la chaîne musculaire postérieure (mollets, arrière des cuisses, fessiers), en créant des tensions au niveau des vertèbres du bas du dos, peuvent donner des douleurs aux lombaires. Des étirements réguliers sont bienvenus pour alléger la colonne vertébrale.
Allongée sur le sol ou votre lit, jambes fléchies, pieds à plat sur le sol. Ressentez la cambrure naturelle de votre dos et maintenez-la pendant toute la durée de l’étirement.
Levez la jambe droite, allongez-la vers le plafond sans cambrer plus le dos ni le plaquer au sol.
Placez vos mains derrière la cuisse droite et, doucement, essayez de rapprocher la jambe droite de votre buste. C’est normal si ça tire un peu. Maintenez la position 30 secondes à 1 minute sans que votre jambe tremble. Toujours en douceur, reposez le pied droit sur le sol, et passez à la jambe gauche.

Un étirement des fessiers
Des fessiers trop contractés peuvent tirer sur le bassin et donner mal au dos. Un étirement régulier (...) Lire la suite sur Topsanté

vendredi 12 juillet 2013

La vente de médicaments en grandes surfaces "n'est pas envisagée", dit Touraine

La vente de médicaments en grandes surfaces "n'est pas envisagée par le gouvernement", a affirmé vendredi à l'AFP la ministre de la Santé, Marisol Touraine, alors que cette hypothèse a été émise par l'Autorité de la concurrence pour faire baisser les prix.

Alors que l'autorité de la concurrence a proposé jeudi de vendre des médicaments en grande surface, la ministre de la santé a rapidement écarté cette possibilité. "L'hypothèse d'une vente des médicaments, même non soumis à prescription obligatoire, en grandes surfaces, n'est pas envisagée par le gouvernement", a voulu rassurer Marisol Touraine ce vendredi, jour du lancement de la vente en ligne de médicaments sans ordonnance sur des sites adossés à une vraie pharmacie. Selon son entourage, la ministre est "particulièrement attentive à ce que le circuit du médicament soit sécurisé et que la consommation des médicaments soit maîtrisée".

En France, l'organisation de la distribution des médicaments est "garante d'un bon approvisionnement de la population", rappelle-t-on de même source, en soulignant qu'elle repose notamment sur un réseau dense de pharmacies, soumis
au régime de la liberté des prix pour les produits non remboursés.
Un encadrement strict de la vente en ligne
Concernant la vente de médicaments en ligne, la France, qui applique une directive européenne de 2011 sur le sujet, a choisi d'encadrer strictement ce mode de distribution, pour éviter qu'elle soit la porte ouverte à la contrefaçon et préserver l'accès à un conseil pharmaceutique, rappelle-t-on au ministère. Les sites doivent être autorisés par les Agences régionales de santé (ARS).
Juste avant le lancement de ces e-pharmacies, l'Autorité de la concurrence a notamment relevé une "disparité très forte des prix des médicaments non remboursables" pouvant aller de 1 à 4 selon les pharmacies. L'ouverture de la vente sur internet des médicaments d'automédication devrait permettre aux patients de mieux encore comparer les prix, estime-t-on au ministère.
 

jeudi 11 juillet 2013

Médicaments sans ordonnance : bientôt en vente dans les grandes surfaces ?

À partir du vendredi 12 juillet, 4 000 médicaments sans ordonnances seront vendus en ligne sur des sites autorisés. Cette évolution pourrait bien en apporter une autre, celle d’autoriser la vente de ses médicaments hors des pharmacies pour faire baisser les prix.

L’Autorité de la concurrence est favorable à cette évolution et il faut « explorer sérieusement cette piste » a-t-elle estimé dans un communiqué diffusé mercredi. La concurrence entre les officines ne se développe pas suffisamment alors que les prix sont libres. L’ouverture partielle du monopole des pharmacies sur la vente des médicaments « permettrait aux consommateurs de bénéficier de tarifs plus attractifs pour leurs achats de médicaments d’automédication ».

La disparité entre les prix des médicaments non remboursables est très forte, cela peut aller « de 1 à 4 » explique l’Autorité, sans que les consommateurs n’en soient vraiment informés puisque la publicité sur les prix des médicaments est quasi inexistante. La libéralisation partielle du monopole pourrait entraîner 25% de baisse des prix, comme cela a été le cas en Italie.

«C'est une avancée considérable»

Michel-Edouard Leclerc, le dirigeant du groupe « E. Leclerc », est ravie de ce projet : « C'est une avancée considérable. La France est le dernier pays avec la Belgique et l'Espagne à refuser l'ouverture du monopole des officines. C'est obsolète. En ces temps de faible pouvoir d'achat, on pourrait faire l'économie des surmarges de certaines officines ».

Pour l’heure, ce n’est qu’une proposition mais à la veille de la mise en ligne des 4 000 médicaments sans ordonnance disponible à l’achat sur Internet, il se pourrait bien que très rapidement le Doliprane et ses collègues se retrouvent dans les rayons de supermarché.


http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/11/1669466-medicaments-sans-ordonnance-bientot-en-vente-dans-les-grandes-surfaces.html

lundi 8 juillet 2013

Efficacité des médicaments anti-cholestérol - Magazine de la santé - Michel

Sclérose en plaques : un bon niveau d’éducation protège le cerveau

Des chercheurs italiens ont constaté que les patients atteints de sclérose en plaques ayant un bon niveau d’éducation son protégés contre les effets de la maladie au niveau cognitif.
Avoir un niveau d’éducation élevé ne sert pas qu’à briller en société. Selon des chercheurs italiens de l’université de Bologne, une éducation de très bon niveau pourrait être considéré comme un facteur de protection contre les troubles cognitifs liés à la sclérose en plaques (SEP).
Les scientifiques ont mené une étude, publiée par la revue Restorative Neurology and Neuroscience, afin d’analyser la capacité du cerveau d’une personne atteinte de SEP, une maladie évolutive entraînant des déficits neuropsychologiques, à compenser les lésions pathologiques en se concentrant sur le traitement des tâches.
Parmi les facteurs pris en compte, les chercheurs se sont penchés sur le niveau d’éducation et la réussite professionnelle, sans oublier l’influence de la fatigue sur les performances cognitives. Parmi les participants à l’étude, 50 patients atteints de SEP ont été confrontés à 157 personnes en bonne santé du même âge (40 ans), sexe et niveau d’éducation (12 ans d’études en moyenne).
Après une série de tests, les chercheurs ont constaté que les malades avec un faible niveau d’éducation ont eu des moins bons résultats cognitifs que les témoins sains, alors que les malades ayant un très bon niveau ne présentent aucune différence.
Retrouvez cet article sur Topsanté

Contractures musculaires : retrait du marché du tétrazépam

Des réactions cutanées rares mais très graves, et parfois mortelles, sont à l'origine de cette suspension du marché.
Le retrait du marché du tétrazépam (Myolastan du laboratoire Sanofi et ses génériques), médicament utilisé dans le traitement des contractures musculaires douloureuses en rhumatologie, interviendra "à partir du 8 juillet" en France, a indiqué mardi l'Agence du médicament (ANSM). Cette suspension "sera accompagnée le même jour d'un rappel de toutes les boîtes disponibles sur le marché", précise l'ANSM.
Des réactions cutanées rares mais très graves, et parfois mortelles, sont à l'origine de cette suspension du marché, souligne l'agence sanitaire, qui avait demandé à l'Agence européenne du médicament (EMA) une réévaluation de ce médicament de la famille des benzodiazépines et la suspension de son autorisation de mise sur le marché (AMM).
Sevrage
Cette décision de suspension du marché des médicaments à base de tétrazépam (Myolastan et ses génériques : Panos de Daiichi Sankyo France, Tetrazepam d'Arrow, Sandoz, Biogaran, etc.), qui se fait "en accord avec les autorités européennes", concerne tous les États membres de l'Union européenne, note l'ANSM. En juin, la Commission européenne a approuvé la recommandation d'avril de l'Agence européenne de suspendre les AMM de médicaments à base de tétrazépam au sein de l'ensemble de l'Union européenne en raison d'une balance bénéfices/risques jugée désormais défavorable pour ces spécialités.
Les médecins sont appelés à ne plus instaurer ou renouveler de traitement par tétrazépam et les pharmaciens à informer les patients concernés. "Au vu de l'indication et des données d'utilisation en France, le tétrazépam est utilisé sur de courtes périodes", ce qui devrait éviter les problèmes de sevrage pour cette benzodiazépine, selon l'ANSM. Mais "dans les cas exceptionnels d'utilisation au long cours, un (...)
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Odeurs corporelles : 5 idées reçues

Les odeurs nous entourent. On les trouve agréables ou repoussantes, elles nous enchantent ou nous indisposent. Mais que savez-vous des odeurs corporelles ? Les déodorants empêchent la transpiration
Vrai : en bouchant les pores de la peau (avec les sels d’aluminium) mais pas seulement. Ils neutralisent les bactéries avec l’alcool et camoufle les odeurs avec un parfum.
Les poils augmentent les odeurs de transpiration
Vrai : La quantité de poils ne modifie en rien la transpiration, mais peut changer l’odeur.
Les poils retiennent comme les tissus les odeurs. Plus ils sont nombreux, plus ils augmentent la surface de diffusion.

Des odeurs fortes peuvent être un signe de mauvaise santé
Vrai : Les mycoses ont une odeur. Parfois si particulière qu’elle permette de les différencier. La mauvaise haleine donne des informations sur des troubles digestives ou dentaires. Et plus généralement les maladies s’accompagnent toujours d’une odeur significative.
Plus on se lave plus on émet des odeurs
Faux : en se lavant on diminue les bactéries qui vivent sur notre peau, donc on diminue les odeurs. En revanche une hygiène intime excessive perturbe la flore vaginale, essentielle pour lutter contre les infections. Les éliminer est donc mauvais pour la santé.
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Alzheimer : des essais thérapeutiques prometteurs

Bruno Vellas, qui dirige le pôle gériatrie et le gérontopôle du CHU de Toulouse vient d’être élu à l’Académie nationale de Médecine. Une reconnaissance pour ce professeur de 56 ans, à l’origine du premier hôpital de jour en France dédié à l’évaluation des fragilités et à la prévention de la dépendance chez les personnes âgées. Localisé à La Grave, cet hôpital de jour a permis de repérer 800 patients «fragiles » depuis son ouverture en septembre 2011. Elles sont aujourd’hui suivies dans le cadre d’un plan personnalisé.
Que représente cette nomination pour vous ?
C’est la récompense de toute une équipe qui travaille dans un domaine difficile : le vieillissement et la maladie d’Alzheimer. Ça permet à ces disciplines de mieux se faire connaître et de sensibiliser l’ensemble du corps médical. Aujourd’hui, de nombreux médecins jouent le jeu, dans leur cabinet ou en maison de santé et effectuent un premier repérage des personnes fragiles.
A-t-on avancé sur le domaine de la dépendance depuis la venue de la ministre Michèle Delaunay à Toulouse et à qui vous aviez demandé de «saisir la balle au bond » ?
On avance mais les ministères disposent de peu de moyens. La volonté existe mais pas les financements. À Toulouse, nous répondons à des appels d’offres européens, dont celui de la commission européenne qui a ciblé le domaine de la fragilité, et nous sommes aussi conseils.
Quels sont les nouveaux programmes sur lesquels vous travaillez ?
Dans la maladie d’Alzheimer, nous avons des nouveaux essais thérapeutiques très prometteurs : nous sommes capables d’identifier les plaques séniles avant le développement de la maladie. La cohorte de patients de Toulouse est une des plus importantes en Europe, il y a déjà eu des communications orales, des publications sont en cours, nous travaillons sur le choix des molécules qui pourraient freiner l’avancée de la maladie.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/07/08/1666800-alzheimer-des-essais-therapeutiques-prometteurs.html