vendredi 17 mai 2013

6 idées fausses sur la cellulite

Chaque printemps, quand on commence à penser aux petites robes et maillots qu'on aimerait porter, elle nous gâche la vie et nous complexe. Il est pourtant possible de venir à bout de la peau d’orange. Le tout est de bien connaitre l’ennemie !
La cellulite est bel et bien constituée de graisse, superficielle et très localisée (à cause des hormones féminines) sur tout le bas du corps, dans des zones typiquement féminines : extérieur et intérieur des cuisses, fesses, genoux, hanches… Mais ce n’est pas qu’un problème de gras : les cellules adipeuses, gonflées à bloc et au maximum de leurs capacités de remplissage, empêchent la bonne circulation des liquides (le sang et la lymphe), ce qui perturbe l’élimination des toxines. Apparaît alors une inflammation locale qui donne cet effet « peau d’orange » disgracieux.
La cellulite a une composante génétique établie, tout comme les problèmes veineux et lymphatiques qui lui sont associés. Mais cela n’empêche pas d’agir pour la réduire, d’autant que l’hérédité n’est pas seule en cause : le manque d’activité physique et de masse musculaire, et une alimentation désordonnée, ne sont pas pour rien dans l’histoire…
Tout le monde n’est pas égal sur la balance, devant le miroir (et aussi l’assiette !), et certaines femmes présentent plus de cellulite que d’autres, sans que cela ait forcément à voir avec le poids global. On peut constater que certains morphotypes physiques y sont plus sujets, tout particulièrement le profil dit « endomorphe » : épaules plus étroites que les hanches, ossature fine, profil plutôt méditerranéen, digestion et métabolisme lents, tempérament calme, dépendance à la nourriture, tendance à prendre facilement du poids… Si toutes les femmes sont sujettes à la cellulite, on peut dire que le profil endomorphe a en quelque sorte « des circonstances atténuantes »… mais aussi qu’il aura plus de mal à s’en débarrasser, car cela lui coûtera plus d’efforts.
Un régime seul n’en vient pas à bout : on va (...) Lire la suite sur TopSante.com

jeudi 16 mai 2013

Coronavirus: L'état de santé du second malade français s'est dégradé

Il a été placé sous oxygénation pour prendre le relais de ses fonctions pulmonaires...
L'état de santé du voisin de chambre du premier cas avéré de coronavirus détecté en France s'est dégradé mercredi, a annoncé jeudi le CHRU de Lille. «L'état de santé du deuxième patient s'est dégradé hier dans la journée. Il a été placé sous ECMO (oxygénation extra corporelle) pour prendre le relai de ses fonctions pulmonaires», a indiqué le CHRU dans un communiqué

http://www.20minutes.fr/societe/1156611-20130516-coronavirus-etat-sante-second-malade-francais-degrade

mardi 14 mai 2013

FRANCE 24 Santé - 28/04/2013 SANTE

Les urgences de l'Hôtel-Dieu vont fermer

La direction de l'AP-HP (Assistance publique-Hôpitaux de Paris) a annoncé mardi que les urgences de l'Hôtel-Dieu, plus ancien hôpital de Paris, fermeraient le 4 novembre, a indiqué à l'AFP une source proche du dossier. "La directrice générale (de l'AP-HP, Mireille Faugère) a annoncé la fermeture à partir du lundi 4 novembre 2013" des urgences, lors d'une réunion de la Commission médicale d'établissement (CME), a précisé un de ses membres.

http://www.lejdd.fr/Societe/Depeches/Les-urgences-de-l-Hotel-Dieu-vont-fermer-607285

lundi 13 mai 2013

Coronavirus : "Pronostic vital engagé" pour les deux patients français

Le pronostic vital des deux patients atteints par le nouveau coronavirus et hospitalisés à Lille est désormais "engagé", même si une guérison reste possible.
Une guérison reste possible, mais le pronostic vital des deux patients atteints par le nouveau coronavirus et hospitalisés à Lille est "engagé", a indiqué lundi une source hospitalière. "Il existe aussi des chances raisonnables qu'ils puissent s'en sortir", a déclaré Daniel Mathieu, chef du service réanimation du CHRU de Lille, lundi, lors d'un point de presse. Leurs chances de guérison, "c'est quelque chose qu'on ne peut pas déterminer pour l'instant", car "on manque de recul" sur cette pathologie, a-t-il ajouté. "Quand vous êtes dans un service de réanimation, c'est que votre pronostic est engagé, quelle que soit la maladie qui vous y conduit", a souligné le médecin.  
Le premier patient contaminé est toujours dans un état "sérieux" mais "stationnaire". Le cas du second malade s'est "aggravé de manière certaine ces dernières 36 heures", ce qui a conduit à le placer sous respiration artificielle. Surtout, l'absence d'amélioration des deux cas "est un des motifs de préoccupation", selon le Pr Mathieu. 
 

dimanche 12 mai 2013

Coronavirus : 2e cas confirmé en France

Un deuxième cas d'infection par le nouveau coronavirus a été confirmé en France, a annoncé dans la nuit de samedi à dimanche à Paris, le ministère de la Santé.
Un deuxième cas d'infection par le nouveau coronavirus a été confirmé en France, a annoncé dans la nuit de samedi à dimanche à Paris, le ministère de la Santé. Il s'agit de l'homme qui a partagé la chambre du malade, un homme de 65 ans ayant voyagé à Dubaï, pendant quatre jours à Valenciennes, alors que la pathologie respiratoire n'avait pas encore été détectée.

Pour ce patient et nouveau cas, qui est actuellement hospitalisé et isolé en service d'infectiologie au CHRU de Lille, "les résultats positifs viennent d'être confirmés". Ce patient continue de se voir administrer "de manière assez agressive" des antibiotiques, selon le professeur Benoît Guéry, du service d'infectiologie du CHRU de Lille.

Pour l'autre cas qui restait suspect, un jeune homme, membre de la famille du malade, resté chez lui, les résultats sont négatifs, a précisé le ministère dans un communiqué. Une enquête épidémiologique a été lancée à la suite de la confirmation, le 7 mai, du premier cas d'infection par un nouveau coronavirus (nCoV) en France chez un malade de 65 ans, qui a été hospitalisé au centre hospitalier de Valenciennes, puis à Douai et enfin au CHRU de Lille, où il se trouve actuellement en réanimation.
Assistance respiratoire 

Deux d'entre elles étaient encore en cours d'investigation samedi, rappelle le ministère en rendant publics les résultats des tests les concernant effectués par l'Institut Pasteur. Par ailleurs, trois membres du personnel soignant - un médecin de Valenciennes, deux membres du centre hospitalier de Douai -, dont le cas avait suscité de l'inquiétude, étaient quant à elles hors de danger et avaient pu rentrer chez elles. Cent vingt-quatre personnes au total ont été identifiées dans l'entourage du malade comme ayant pu être en contact avec lui ainsi que dans les hôpitaux où il avait séjourné auparavant à Valenciennes et Douai.
L'état de santé de ce malade "s'est stabilisé mais reste sérieux", selon le professeur Daniel Mathieu, à la tête du service de réanimation. "Il est probable que nous ne verrons pas d'évolution favorable avant au moins 48 à 72 heures", a-t-il estimé samedi lors d'une conférence de presse. Le malade, qui a besoin d'une assistance respiratoire, s'était présenté le 23 avril au centre hospitalier de Valenciennes (Nord), où il était suivi pour une maladie chronique, et présentait alors des troubles digestifs. Le service de réanimation étant complet, il avait ensuite été transféré le 29 avril au centre hospitalier de Douai (Nord), où des troubles respiratoires avaient été constatés.
Mesures de précaution  
La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a visité samedi matin les deux services accueillant les patients. "La vigilance reste de mise", a ensuite déclaré la ministre en conférence de presse. Marisol Touraine a annoncé la mise en place d'un système d'information dans les aéroports internationaux pour les voyageurs à destination de la péninsule arabique. Un tract, dont le message a été élaboré par les ministères des Affaires étrangères et de la Santé, sera distribué aux comptoirs des compagnies aériennes. Il est notamment recommandé de prendre des mesures de précaution, comme de se laver les mains régulièrement, mais aussi et surtout d'éviter tout contact avec des animaux.

Au total, 33 cas confirmés dans le monde de ce nouveau virus ont été notifiés à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) depuis septembre 2012 et 18 personnes en sont mortes, dont 11 en Arabie Saoudite Des cas d'infection ont déjà été détectés en Arabie Saoudite, en Jordanie, au Royaume-Uni et en Allemagne. L'Institut de veille sanitaire (InVS) a indiqué que les deux malades britanniques n'avaient pas voyagé dans la région de la péninsule arabique, mais avaient été en contact avec un malade. "Ces éléments suggèrent très fortement l'existence d'une transmission interhumaine de l'infection", a souligné l'InVS.
 

samedi 11 mai 2013

Coronavirus : 3 cas suspects négatifs, le 4e en cours d'analyse

Trois cas suspects de contamination par le nouveau coronavirus, proche de celui du Sras, sont négatifs, tandis que pour un quatrième cas, un patient ex-voisin de chambre du malade atteint "des examens complémentaires sont nécessaires".
Soulagement dans le Nord de la France. Les trois cas suspects de contamination par le nouveau coronavirus, proche de celui du Sras, sont négatifs, tandis que pour un quatrième cas, un patient ex-voisin de chambre du malade atteint, "des examens complémentaires sont nécessaires", selon les résultats des tests, a indiqué le ministère de la santé dans la nuit de vendredi à samedi.

Le premier cas d'infection par le nouveau coronavirus (nCoV) en France, provoquant de graves problèmes respiratoires, a été confirmé le 7 mai dernier, rappelle le ministère dans un communiqué. Des recherches ont été conduites auprès de l'entourage de ce malade, un homme 65 ans actuellement hospitalisé en réanimation à Lille, ainsi que dans les hôpitaux dans lesquels il avait séjourné (centres hospitaliers de Valenciennes et Douai).

"Parmi les cent vingt personnes identifiées, trois (ndlr: un patient qui avait côtoyé le malade, un médecin, une infirmière), puis une quatrième dans la journée du 10 mai, présentaient des symptômes qui ont conduit à des prélèvements virologiques et à leur mise sous observation, en isolement, en service d'infectiologie", note le ministère. "Pour trois personnes, des résultats négatifs viennent d'être confirmés par le centre national de référence de l'Institut Pasteur, à Paris." Pour le patient qui avait côtoyé l'homme de 65 ans atteint du nouveau coronavirus, lors de son séjour à l'hôpital de Valenciennes du 27 au 29 avril "des examens complémentaires sont nécessaires". Ce patient est actuellement hospitalisé et isolé en service d'infectiologie au CHRU de Lille. La ministre de la Santé,
Marisol Touraine, se rend samedi matin au  CHRU de Lille, ajoute-t-on de même source.
 
Ligne téléphonique dédiée
Le malade s'était présenté le 23 avril au centre hospitalier de Valenciennes (Nord), où il était suivi pour une
maladie chronique. Il présentait des troubles digestifs et avait été placé en service de réanimation. Ce service étant complet, il avait ensuite été transféré le 29 avril au centre hospitalier de Douai (Nord) où des troubles respiratoires avaient été constatés. Son état de santé a nécessité la mise en place d'une assistance extra-corporelle pour prendre le relais de ses fonctions respiratoires. Il a dû par conséquent être transféré au CHRU de Lille, le seul établissement de la région pratiquant ce type de prise en charge médicale. Le malade est placé dans une chambre d'isolement, en service de réanimation, dans un "état très sérieux mais stable", selon l'ARS.

Une ligne téléphonique dédiée devait être mise en place au centre hospitalier de Valenciennes pour répondre aux demandes de renseignements du personnel de l'établissement. "Les équipes sont parfaitement sereines", a néanmoins indiqué à l'AFP Jean-Luc Chagnon, médecin au sein de l'établissement.

Le premier cas français confirmé d'infection par le nouveau coronavirus survient dix ans après la pandémie de SRAS (Syndrome respiratoire aigu sévère), partie de Chine, qui avait causé la mort de plus de 800 personnes et suscité l'inquiétude partout dans le monde. Des cas d'infection ont déjà été détectés en Arabie saoudite, en Jordanie, au Royaume-Uni et en Allemagne. Au total, 33 cas confirmés dans le monde de ce nouveau coronavirus, ont été notifiés à l'OMS depuis septembre 2012 et 18 personnes en sont mortes, dont 11 en Arabie Saoudite.
 

vendredi 10 mai 2013

Virus proche du SRAS : deux nouvelles hospitalisations dans le Nord

Un médecin et un ex-voisin de chambre du premier malade français atteint du nouveau coronavirus proche du SRAS pourraient avoir été à leur tour contaminés. L'OMS a, par ailleurs, annoncé que 2 nouveaux cas avaient été confirmés en Arabie Saoudite.
La propagation du virus : c'est la crainte majeure des autorités sanitaires. L'Agence régionale de santé a indiqué jeudi soir qu'un risque de contamination existait concernant un médecin et un ancien voisin de chambre du premier malade français atteint du nouveau coronavirus proche du Sras. Ils ont été hospitalisés à Lille et Tourcoing pour y subir notamment des prélèvements. 
Le voisin de chambre, qui avait côtoyé le malade lors de son séjour au centre hospitalier de Valenciennes du 27 au 29 avril, "présente depuis mercredi des symptômes nécessitant une consultation spécialisée d'infectiologie, complétée de prélèvements et d'une surveillance en hospitalisation en chambre individuelle", annonce l'ARS dans son communiqué. L'un des médecins qui a aussi été en contact avec le patient atteint de l'infection à coronavirus, "a présenté des symptômes nécessitant (également) son hospitalisation".
Pas de symptômes à l'hôpital de Douai
En revanche, l'hôpital de Douai, où a également séjourné à partir du 29 avril le patient infecté jusqu'à son transfert dans la nuit de mercredi à jeudi au CHRU de Lille, "indique l'absence de symptômes à ce jour parmi les sujets contacts identifiés au sein de cet établissement", précise l'ARS.
Le patient nordiste atteint du nouveau coronavirus, proche du SRAS, premier cas confirmé en France, était jeudi dans un état stable mais toujours très sérieux, au service de réanimation du CHRU de Lille, où il a été transféré dans la nuit de mercredi à jeudi. Ce patient âgé de 65 ans "a été immédiatement placé dans une chambre spécialement conçue pour permettre son isolement". Il a été pris en charge par une équipe dédiée, a indiqué le CHRU de Lille.
Deux nouveaux cas confirmés en Arabie Saoudite
En revanche, deux nouveaux cas de coronavirus ont été confirmés en Arabie Saoudite, a annoncé soir jeudi l'Organisation mondiale de la santé (OMS). "Le premier patient est un homme de 48 ans qui souffrait de multiples affections et qui est tombé malade le 29 avril 2013. Son état est stable", précise l'organisation basée à Genève. Le second patient est un homme de 58 ans qui souffrait aussi d'une affection (non précisée par l'OMS) et qui est tombé malade le 6 avril. Il a pu
toutefois totalement guérir et est sorti de l'hôpital le 3 mai.
Les deux patients avaient été en lien avec le même centre médical, en Arabie Saoudite, où plusieurs cas du nouveau coronavirus ont été confirmés depuis début mai. Depuis le début du mois, 15 cas (12 hommes et 3 femmes) ont été détectés dans cet établissement, dont 7 sont décédés.

Des cas d'infection par ce nouveau coronavirus ont jusqu'ici été détectés en Arabie saoudite, en Jordanie, au Royaume-Uni, en Allemagne et en France. Au total, 33 cas confirmés dans le monde ont été notifiés à l'OMS et 18 personnes sont décédées après avoir été contaminées par ce virus, dont 11 en Arabie saoudite.
 

jeudi 9 mai 2013

Somme: suspicion d'un cas de ménignite

Un cas de méningite est soupçonné dans la mort d'une jeune fille de 17 ans, élève d'un lycée professionnel de Friville-Escarbotin (Somme), dans la nuit d'hier à aujourd'hui à la suite d'un "purpura fulminans", a annoncé aujourd'hui la préfecture de la Somme.

"Cette nuit, une jeune fille de 17 ans est décédée au Centre Hospitalier d'Abbeville (80) suite à un purpura fulminans, avec une suspicion de méningite", a informé la préfecture dans un communiqué.

Les résultats des analyses médicales confirmant le cas de méningite devraient être connus vendredi après-midi, a-t-on appris auprès de la préfecture.

Les proches de la victime ont été pris en charge par le centre hospitalier d'Abbeville, et ont reçu un traitement antibiotique préventif, selon la même source.

Le lycée étant fermé en fin de semaine, l'Agence Régionale de Santé (ARS) de Picardie, en lien avec les services de l'État et la direction des services académiques de la Somme, prend contact téléphoniquement avec les camarades de classe de la jeune fille et leurs familles, pour déterminer s'ils doivent bénéficier d'un traitement antibiotique préventif, précise le communiqué.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/09/97001-20130509FILWWW00344-somme-suspicion-d-un-cas-de-menignite.php

mercredi 8 mai 2013

Premier cas confirmé d'infection en France par le virus proche du SRAS

Un premier cas d'infection respiratoire aiguë par le nouveau virus de la famille des coronavirus proche du SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) a été confirmé en France, a annoncé mercredi le ministère de la Santé.
Le SRAS fait son apparition sur le sol français. Un premier cas d'infection respiratoire aiguë par le nouveau virus de la famille des coronavirus proche du syndrome respiratoire aigu sévère a été confirmé en France, a annoncé mercredi le ministère de la Santé. Le ministère relativise cependant la portée de cette information : "C'est le premier et seul cas confirmé en France à ce jour".
Ce cas d'infection respiratoire aiguë liée au nouveau coronavirus "vient d'être signalé à l'Institut de Veille Sanitaire (InVS) par le Centre national de référence (CNR) de l'Institut Pasteur qui a procédé aux analyses virologiques", a détaillé le ministère de la Santé. La personne touchée par le syndrome est "une personne de retour d'un séjour aux Emirats arabes unis", indique en outre le ministère de la Santé. Elle "est actuellement hospitalisée en réanimation et placée en isolement", poursuit le ministère, qui dit avoir "lancé une enquête épidémiologique approfondie autour de ce cas".
Insuffisance rénale rapide
De fait, il semble que l'un des principaux foyers épidémiques soit situé dans la péninsule arabique, plus précisément en Arabie saoudite, un pays qui touche les Emirats arabes unis. 11 personnes sont mortes du SRAS dans le royaume saoudien depuis l'apparition de la maladie dans un centre médical du gouvernorat d'Al Ahsa, a annoncé mardi un responsable de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Six autres personnes ont été infectées par le coronavirus, dont une se trouve dans un état grave.

La nouvelle souche a provoqué en tout 18 morts au niveau mondial depuis son apparition en septembre et 30 cas de contamination ont été confirmés par des laboratoires. La transmission de la maladie entre humains n'a pas été établie mais plusieurs cas signalés par l'OMS en Arabie saoudite, en
Jordanie, en Allemagne et en Grande-Bretagne suscitent des inquiétudes. Un étude menée en Jordanie a montré que l'apparition de la nouvelle souche virale remonterait à avril 2012.
Actuellement l'OMS ne dispose pas d'assez d'informations pour parvenir à des conclusions sur le mode et la source de transmission du coronavirus. Mais elle a appelé à la vigilance à l'égard de cette grave infection respiratoire. Elle avait indiqué le mois dernier travailler avec des experts internationaux et des pays où des cas ont été enregistrés pour évaluer la situation et étudier des recommandations de vigilance.
Une épidémie de SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) a causé la mort de plus de 800 personnes en Chine en 2003, déclenchant une alerte sanitaire à l'échelle mondiale. Le nouveau virus est cependant différent du SRAS, notamment parce qu'il provoque une insuffisance rénale rapide.